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Lettre d’un père catholique aux dessinateurs de « Charlie Hebdo »

23 commentaires

C’est au cœur de Marseille, dans un quartier défavorisé et essentiellement peuplé de musulmans, où le taux de pratique religieuse se tassait sous la barre des 1%, que le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine a été installé en 2004. Depuis, la presse locale l’a surnommé « le prêtre qui multiplie les paroissiens ». Je publie ici sa lettre au 4 dessinateurs de CHARLIE.

Cher Jean, cher Georges, cher Stéphane, cher Bernard,

Bien que je sois prêtre et que cet état par le passé vous débectait, permettez-moi de vous appeler par vos prénoms et non par vos noms de guerre. Une façon comme une autre de me sentir votre frère. Certes, vous demeurez Cabu, Wolinski, Charb et Tignous, dessinateurs de profession, crayonneurs d’idées, trublions de vie politique, insulteurs de justes et de coupables, souvent drôles et méchants sous le crayon vulgaire et obsessionnellement blasphémateur du sacré, mais à mon esprit éduqué par le Christ à dépasser les apparences, vous apparaissez plus grands que votre œuvre, plus grands que vos dessins offerts aux combats rétrécis de la terre. Seule la bonté personnelle qualifie un être et l’ennoblit jusqu’à la moelle, je le crois, et pour cela, je mourrais. Tout le reste n’appartient qu’à la petite histoire qui finit sous le dégueuloir conventionnel des hommages et des récompenses accordés entre hommes, au gré des intérêts particuliers et des partis. Bah ! que tout cela est bas !

Aujourd’hui, préoccupé par plus haut, maintenant que la vie n’est plus un mystère pour vous puisque vous connaissez la vérité tout entière (et Dieu sait si cette connaissance doit désormais susciter en vous non plus votre humour mais votre joie), je viens vous demander un petit coup de main pour la France. Ne me le refusez pas.

Amis, auriez-vous la gentillesse de dire un mot au créateur du monde afin qu’il continue de juger avec indulgence ses enfants d’en bas qui le rejettent ou qui prétendent le défendre en tuant leurs semblables ? Faites cela pour nous, je vous en supplie ! Que le Ciel n’abandonne pas la terre, et que les hommes comprennent, enfin, que travailler à la mort de Dieu dans les consciences ou tuer au nom de Dieu revient à massacrer l’homme lui-même ! Pourriez-vous aussi de vos lumières actuelles éclairer nos intelligences de manière à ce que nous empruntions les chemins par lesquels on peut enrayer les fusils les plus huilés ?

Je vous avoue qu’une chose me surprend depuis votre entrée dans la vie éternelle : c’est la glorification unanime de la liberté d’expression que vous auriez honorée magnifiquement jusqu’à mourir pour elle ! Je dirais plus sobrement que vous avez exprimé librement ce que vous pensiez, sans jamais vous préoccuper des effets collatéraux que l’expression de VOTRE vérité pouvait créer dans les esprits. C’est ainsi. Pourtant, dans les relations humaines, et en particulier dans la vie conjugale, familiale, et même amicale, nous ne lâchons pas ce que nous pensons sans exercer un certain discernement à la seule fin de ne pas blesser inutilement nos proches. Et cela devrait valoir aussi pour les lointains.

La raison de cette retenue n’est pas à chercher bien loin, elle appartient à l’univers de l’amour qui tout simplement ne désire pas blesser. Cette retenue dans le langage, cette réserve bienveillante n’est pas une faiblesse, elle est une intelligence qui protège les liens et qui, en évitant de faire monter le sang à la tête de l’adversaire potentiel, empêche par rebond de le faire jaillir de la tête d’un autre. Cette réserve, tout homme peut la vivre, elle est vraiment à la portée de tous, sauf de l’extrémiste qui donne aux idées plein pouvoir y compris à l’irrespect qui, paraît-il, gagne la partie.

Le président de la République n’a pas cessé ces derniers jours d’appeler le peuple français à la vigilance. Encore une idée bien abstraite !

Que faut-il donc faire ? Rester chez soi ? Faire des provisions ? Lire le Coran ? Souscrire à un abonnement à Charlie Hebdo ? J’aurais préféré qu’il demandât humblement à tous les Français de calmer le jeu de la haine en les suppliants de ne plus blesser la conscience d’autrui au nom d’une liberté d’expression pas assez réfléchie, autrement dit, en nous invitant tous à prendre la résolution de respecter profondément les croyances qui sont chères à des millions de personnes. C’est à ce prix que la paix fera son lit.

Chers Jean, Georges, Stéphane et Bernard, votre mort ignominieuse me fait une peine immense et je voudrais qu’elle ne soit pas inutile. Vos caricatures ne méritaient pas de vous tuer, mais elles l’ont fait. D’une certaine façon, vous avez touché de votre humour grinçant les régions les plus viscéralement haineuses de la nature humaine, assoiffée de justice et de vengeance, et par là, vous avez provoqué l’avènement de la barbarie. Parce que votre nature était saine, je veux le croire, parce que vous cherchiez sans doute à votre manière le bien commun, parce que vous considériez la liberté d’expression comme un droit devant s’exprimer sans état d’âme, parce que vous étiez au fond restés des enfants qui dessinaient comme tous les enfants tout en jouant à mettre le feu, vous avez oublié la permanence de la cruauté humaine quand elle se met au service d’une cause jugée absolue. Vous avez touché à de l’intouchable, et en réponse, vous qui étiez intouchables de par votre dignité d’homme, vous avez été plus que touchés, abattus en plein cœur.

Au-delà de toutes les décisions politiques qui seront prises, je l’espère, pour contrecarrer les actes terroristes, intercédez pour nous, chers Cabu, Wolinski, Charb et Tignous, rendez-vous intelligents et respectueux des croyances d’autrui pour que la France se distingue encore par sa hauteur civilisatrice.

Un dernier point qui me tient à cœur : si vous croisiez au Ciel les trois petits enfants qui, lors de l’affaire Merah, ont été assassinés sauvagement, embrassez-les pour moi, et partagez avec eux la gloire qui est la vôtre aujourd’hui. Eux n’ont pas eu droit à une journée de deuil national ni à une manifestation d’envergure. Mais que pouvons-nous y faire ? Ces enfants ne disposaient que de leurs prénoms, ils n’avaient pas de noms de guerre, et ils ne défendaient pas la liberté d’expression ni la cause de certains politiques! Qu’importe ! Seule la bonté personnelle qualifie un être et l’ennoblit jusqu’à la moelle, je le crois. Pour cela, je mourrais.

Allez, chers Cabu, Wolinski, Charb et Tignous, soyez dans la joie de Dieu, continuez votre vie, et éclairez-nous maintenant de vos clartés.

Père Zanotti-Sorkine, Prêtre catholique

Prédicateur, écrivain, compositeur et chanteur.

Source : http://www.bvoltaire.fr/

  1. Voir le nouveau site internet et la liasse de 23 articles intitulés « Blasphème-ruse-de-guerre » 25 06 2015

    Parmi les actions faciles à faire:

    « Pour l’anniversaire du 7 janvier 2015, préparez dès maintenant la Grnde Fête de l’Effet Boomerang »

    Voir aussi:

    « Une initiative mondiale pour démasquer les fauteurs de guerre et les pouvoirs corrompus »
    Par Houari Achouri sur le site « Algérie patriotique »

    http://www.algeriepatriotique.com/article/une-initiative-mondiale-pour-demasquer-les-fauteurs-de-guerre-et-les-pouvoirs-corrompus

  2. Alaphilippe says:

    Juste un mot : MERCI

  3. LIBERTEDE PENSER says:

    NON JE NE SUIS PAS CHARLIE et je ne subi pas les ordres de la doxa de la pensée unique

    Aussi voici ce que je pense des événements dramatiques de la semaine dernière .

    je ne suis pas un théoricien du complot , loin de là . Mais j’ai aussi ma liberté de pensée et ma liberté d’expression sans être sans cesse soumis à la doxa de la pensée unique

    NON JE N’ACHETERAIS PAS CHARLIE HEBDO par respect à la religion du fonctionnaire de police lâchement abattu sur le trottoir de Charlie-Hebdo

    Il faudra qu’un jour on m’explique pourquoi :

    – Caricaturer l’islam et le catholicisme c’est de la liberté d’expression

    – Caricaturer le judaïsme c’est de l’antisémitisme

    Liberté d’expression ???? On n’a jamais trouvé dans les caricatures de Charlie-Hebdo :

    o un franc maçon ou une franc-maçonne de la secte « nazie »du grand Orient De France agenouillé(e) avec un triangle maçonnique enfoncé dans le Cul
    ou celle caricaturant un homme intégriste penché devant le mur des lamentation avec une énorme Ménorah fichée dans les bas- fonds
    Mais de cela jamais Charlie-Hebdo n’aurait jamais osé en faire ses unes
    Au nom de la liberté d’expression ( à sens unique )

    Que diriez-vous si au lieu de Charlie-Hebdo , cela soit arrivé à Minute . Je précise : ( que je n’ai jamais été lecteur de Charlie-Hebdo ou de Minute ou même autre journal de même style . Je ne suis ni d’extrême-droite ni d’extrême gauche et totalement apolitique .Mais prêt à applaudir aux idées de Gauche ou de droite quand elles vont dans le bon sens pour tous les citoyens de la République Française ) .

    Imaginez un seul instant que Minute est subi le même attentat parce qu’à la une de ses hebdomadaires il y ait les caricatures désignées ci-dessus ( ce qui d’ailleurs eût été impossible car dès parution les « combattants de la laïcité, de la libre pensée et de la liberté d’expression » l’auraient traîné devant leurs tribunaux d’inquisition .
    Mais seulement imaginez quelques secondes que ce soit arrivé à Minute ou à Rivarol . Y aurait-il eu autant de monde dans les rues ???? . Quel aurait été le mot d’ordre ???? .
    Au nom de la liberté d’expression aurait-on permis que les mêmes caricatures soient mises à la une et tirée à 5 millions d’exemplaires .

    Que dire du dessinateur- caricaturiste Siné – licencié de Charlie Hebdo en juillet 2008 pour des propos dits antisémites » par Philippe Val, le directeur d’alors –
    le procédé rhétorique employé par l’avocat de Charlie Hebdo pour distinguer la (bonne) caricature anti-islam ou anti-chrétienne et le (mauvais) dessin antisémite.
    Richard Malka en charge de la défense judiciaire de Charlie Hebdo fustige le gouvernement français, coupable de ne pas assez soutenir la « liberté d’expression » des journalistes-dessinateurs depuis la sortie, mercredi dernier, de leur hebdomadaire anti-islam.
    En 2006, Richard Malka représentait déjà l’équipe du journal satirique lors de l’affaire des caricatures danoises. il s’était alors réjoui, avec l’ex-directeur Philippe Val, d’avoir, en conséquence du procès, fait« exploser » le Conseil français du culte musulman.

    Lorsque l’avocat a été invité à participer à un débat organisé par l’ambassade française de Tel Aviv et intitulé « Le blasphème, droit ou délit ». Après avoir pris soin de distinguer le fait d’attaquer une religion et la haine contre un groupe particulier, Richard Malka est interpellé (à la 38ème minute) par Yaron London, animateur du débat. La question-piège habilement posée par ce journaliste israélien semble prendre au dépourvu le défenseur de Charlie Hebdo.

    Q / Je peux imaginer une situation dans laquelle un caricaturiste dit vouloir s’en prendre à la foi juive mais dessine des juifs très laids, bossus, avec un grand nez et, peut-être, une liasse de billets à la main(…) Il écrit qu’il ne s’en prend pas au juifs mais à la foi juive… A qui s’en prendrait-on ? A la foi ou aux croyants ?

    R / C’est toujours compliqué, ces questions-là…. Là, vous parlez de ce qui fait beaucoup penser aux caricatures d’avant-guerre. Quand vous dessinez un juif avec un gros nez et une liasse de billets, vous n’êtes pas du tout dans la symbolique religieuse, vous êtes dans l’incitation à la haine… Là, vous faites un amalgame entre la religion et ceux qui la pratiquent (…)

    Q/ Et si vous dessinez Mahomet -qui a un visage sémite- avec un turban et une bombe, cela ne veut pas dire que vous méprisez l’islam, cela veut dire que vous méprisez les Arabes ! Alors, pourquoi vous êtes prêt à défendre ceux qui publient ces caricatures ?

    R/ Je les ai déjà défendu… Mais cela veut surtout dire qu’on s’en prend à ceux qui posent des bombes, aux terroristes, à ceux qui dévoient l’islam… Ils le font au nom du Prophète. On ne peut pas nous enlever le rire qui est une défense et la possibilité de caricaturer ces personnes qui se revendiquent du Prophète.

    Dans l’intégralité de cet échange, Richard Malka tente de justifier l’existence des caricatures danoises, relayées alors par Charlie Hebdo, ainsi que les récentes attaques de Madonna en concert contre la « symbolique chrétienne ». Prétexte invoqué : ce ne sont pas tous les musulmans, ou tous les chrétiens, qui seraient visés. Pourtant, à l’inverse, le dessin représentant de manière « laide » un juif, fût-il intégriste ou ultra-sioniste, serait nécessairement considéré comme une « incitation à la haine ».
    Il n’est pas venu à l’esprit de Richard Malka que les dessins de Charlie Hebdo, ainsi que les caricatures danoises, représentaient régulièrement des musulmans, depuis la figure du Prophète jusqu’au pratiquant moderne, de manière « laide »,avec un « gros nez » et, parfois, les accessoires exotiques d’usage telles les babouches et autres djellabas. Pour l’avocat, il ne s’agit pas ici de préjugés racistes mais, plus simplement, de la liberté souveraine du caricaturiste à exprimer sa critique de la religion islamique

    LIBERTE D’EXPRESSION ??????
    JOURNAL ISRAELIEN Haaretz
    http://www.haaretz.com/opinion/.premium-1.636511

    In Israel, Charlie Hebdo would not have even had the right to exist
    In France, freedom of speech is considered a universal right, an Israeli law bans ‘offending religious sentiments.’

     » Charlie Hebdo  » n’aurait pas le droit d’exister en Israël …

    En Israël, une loi punit l' »offense aux sensibilités religieuses ». Résultat : un magazine comme Charlie Hebdo ne pourrait pas voir le jour dans notre pays, écrit le dessinateur Ido Amin. Après la prise d’otage de l’Hyper Cacher dans laquelle quatre Juifs ont été tués par Amedy Coulibaly, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a rappelé aux Juifs de France qu’Israël était « leur foyer » et a annoncé sa volonté d’encourager l’immigration de juifs français en Israël…

    « Mais si Wolinski [dont la mère était juive] était venu en Israël et avait ouvert un Charlie Hebdo ici, il aurait eu un problème », écrit le dessinateur israélien Ido Amin dans un texte publié par Haaretz. « En France, la liberté d’expression est considérée comme un droit universel. Mais en Israël, un hebdomadaire [comme Charlie Hebdo] ne pourrait pas exister, parce qu’une loi interdit ‘d’offenser les sensibilités religieuses' ».
    Il ne s’agit pas d’une loi contre la diffamation, l’obscénité ou le racisme, précise le dessinateur. « Il s’agit d’une loi bien précise, draconienne, une vraie loi anti-Wolinski. Elle interdit de représenter Moïse, Jésus ou Mahomet d’une façon qui risque de heurter les croyants. »
    Le dessinateur précise qu’au fil de sa carrière, il n’a pas eu d’autre choix que d’apprendre à connaître les lois restreignant la liberté de la presse israélienne. « Quand j’ai commencé à dessiner, j’ignorais l’existence d’une telle règle », écrit-il. « Je l’ai découverte des années plus tard, quand ma caricature, publié dans un journal connu, critiquant la cérémonie des Kapparot – qui consiste à faire tourner un poulet vivant au-dessus de sa tête – s’est retrouvée au cœur d’un débat à la Knesset. »
    Et de préciser qu’à l’époque, le ministre de la Police avait comparé son dessin aux caricatures publiées dans la publication nazie Der Stürmer, et qu’à la demande du ministre, son rédacteur en chef et lui ont été soumis à un interrogatoire. « Quelque temps après, j’ai été licencié du journal », raconte Ido Amin.
    La loi réprimant l’offense aux sensibilités religieuses est un héritage du Mandat britannique dans la région.
    « Les Britanniques ont-ils raison ? Quand des groupes différents vivent côte à côte, est-ce que la considération à l’égard de nos voisins doit être plus sacrée que la liberté d’expression ? », interroge le dessinateur, avant de conclure : « Quoi qu’il en soit, ça fait bien longtemps que je ne gagne plus ma vie avec les dessins de presse. »

    Source Courrier international

    – Liberté d’expression à géométrie variable ( voir l’affaire ZEMMOUR )

    – Que dire de Maximilien Leroy, ce dessinateur FRANÇAIS pro-palestinien refoulé d’Israël et interdit de séjour pour 10 ans

    – Quand le Mossad assassinait à Londres un grand caricaturiste palestinien
    Souvenons- nous ! Le dessinateur et caricaturiste palestinien Naji al-Ali, célèbre au Proche-Orient, a été assassiné à Londres, le 22 juillet 1987, près du quotidien koweiti Al-Qabas où il travaillait. Il était irrévérencieux à l’égard des potentats arabes, appelait le sionisme par son nom et dénonçait la corruption de certains dirigeants palestiniens. Un tueur-professionnel lui a logé une balle dans la tête et a continué son chemin calmement, sans être inquiété.
    La presse occidentale ne s’est pas émue de cette attente à la liberté d’expression, comme c’est le cas aujourd’hui après l’attentat dont a été victime Charlie Hebdo. Deux poids et deux mesure?
    Dix mois plus tard, Scotland Yard a arrêté un certain Ismaïl Suwan, un étudiant palestinien impliqué dans l’organisation du meurtre. Interrogé, il a révélé qu’il avait été recruté par le Mossad et que ses supérieurs l’avait informé du projet d’assassinat.
    Devant le refus d’Israël de s’expliquer sur ce crime, Margaret Thatcher – Premier ministre britannique – ordonna la fermeture de l’antenne du Mossad à Londres – Palace Green – et l’expulsion de deux « diplomates » israéliens. Bien que connue du MI5 – service de renseignement intérieur britannique – l’identité de l’assassin – un agent du Kidon, le service action du Mossad – n’a jamais été divulguée.
    La presse occidentale n’a pas remué ciel et terre pour que le tueur et ses commanditaires soient appréhendés et jugés.
    Le Mossad a poursuivi ses activités en Grande-Bretagne tranquillement, mais sans statut officiel.
    Il a fallu attendre 1998 pour qu’Ephraïm Halevy, nouvellement nommé à la tête du Mossad, obtienne de Margareth Thatcher la réouverture du bureau du Mossad à Londres.

    – Sans oublier l’affaire LAVON en Egypte en 1954

    ACCIDENT DE TRAVAIL A CHARLIE-HEBDO

    Comme quoi les ( cons ) meurent aussi

    Mes condoléances sincères aux représentants des forces de l’ordre lâchement assassinés dans l’accomplissement de leur devoir, sous la complicité, la démission et l’incompétence des politiques de tous bords et surtout du parti socialiste et le racisme sectaire de SOS RACISME.

    c’est vrai que les fouilles au corps sont comment ?? dit-on ? : stigmatisantes !!

    Il y aurait peut-être moins de couteaux et d’armes à feu dans les mains de certains .

    Je condamne fermement ces agressions, et présente mes plus sincères condoléances aux familles de TOUTES les victimes de ces lâches attentats .

    Aussi veuillez respecter ma liberté d’expression

    NON JE N’AI PAS ETE A LA MANIFESTATION DE DIMANCHE

    A Cause de la récupération politicienne « JE SUIS CHARLIE »

    Par contre si le mot d’ordre avait été « TOUCHE PAS A MA FRANCE » j’aurai été le premier à défiler et même j’aurai couché sur place pour me trouver aux tous premiers rangs

    Il faut le faire :

    HOLLANDE et VALLS ont demandés aux français Musulmans de venir défiler à la mémoire d’un torchon de journal qui n’a de cesse d’insulter leur religion .

    Je suis ravi de voir que les français Musulmans n’ont pas été aussi MASO .

    Ou alors ils auraient dû venir défiler avec une pancarte  » JE SUIS CHARLIE HEBDO ,MAIS TOUCHE PAS A MA RELIGION »

    A-t-on demandé aux Français juifs de s’excuser pour les crimes sur les milliers de morts de GAZA ??

    A-t-on demandé aux Français Juifs de s’excuser sur des agressions journalières commises sur des prêtres et « vandalismes » d’édifices catholiques dans Jérusalem ou aux alentours ? ??

    – l’affaire Crémisan

    – Le monastère franciscain à Jérusalem

    – Des colons juifs ont à nouveau peint des slogans haineux contre des édifices chrétiens à Jérusalem. Ces extrémistes ont autoproclamé leur mouvement ultranationaliste «le prix à payer» (price tag). Pour la deuxième fois cette année, ils ont peint des graffitis insultant la personne du Christ sur les murs du Monastère de la Croix à Jérusalem-Ouest, la partie juive de la Ville sainte.
    Selon la presse israélienne, il s’agit de la cinquième attaque de ce genre contre un lieu de culte chrétien depuis le début de l’année 2012. Les autres attentats avaient visé le Monastère trappiste de Latroun, à 15 km à l’ouest de Jérusalem, une église baptiste à Jérusalem-Ouest, et l’Abbaye bénédictine de la Dormition, sur le Mont Sion. Quant au Monastère de la Croix, il se trouve dans la vallée de la Croix, près du musée d’Israël et de la Knesset.
    Les attaques signées «price tag» sont des «actes criminels et terroristes» ayant pour but de pousser Israël dans une guerre de religion, un «Armageddon religieux», estime Amos Gilad, responsable des questions politiques et de sécurité au Ministère israélien de la défense. Le général de réserve estime que ces actes doivent être sévèrement punis.
    Ces extrémistes de «price tag», une poignée de militants regroupés en cellules clandestines, seraient appuyés par des centaines de sympathisants parmi les colons vivant dans les territoires palestiniens occupés. Ils s’en prennent régulièrement aux Palestiniens et à leurs propriétés, arrachant des oliviers, vandalisant des véhicules et des bâtiments, brûlant même des mosquées.
    Malgré les dénégations des autorités israéliennes, les auteurs de ces attaques continuelles, qui nuisent gravement à l’image d’Israël, semblent agir en toute impunité. Cette «impuissance» de la police crée un climat de crainte dans les milieux chrétiens de Terre sainte. En février dernier, les extrémistes avaient déjà inscrit «Mort aux chrétiens» sur le mur d’enceinte du Monastère de la Croix.

    – Israël: menaces de mort contre un évêque, une église et une mosquée vandalisées

    Jérusalem – La police israélienne a annoncé mardi l’arrestation d’un suspect ayant menacé de mort l’évêque de Nazareth et ses fidèles, et a rapporté des actes de vandalisme contre une église et une mosquée dans le nord du pays.

    Un suspect est allé (dimanche) au domicile de (l’évêque catholique romain de Nazareth, Giacinto-Boulos Marcuzzo) et lui a remis une lettre de menaces, a expliqué le porte-parole de la police Michy Rosenfeld, affirmant que l’homme avait été arrêté mardi dans la ville voisine de Safed (nord).

    La lettre exige que tous les chrétiens à l’exception des protestants et des anglicans quittent Israël avant le 5 mai et menace de tuer l’évêque et l’ensemble de sa communauté s’ils n’obtempèrent pas.

    La missive, signée du Messie, fils de David, cite des sources juives présentant la chrétienté comme une forme d’idolâtrie.

    Le suspect, un juif d’une quarantaine d’années, a affirmé que son message devait être distribué, par voie de presse, avant 17H00 GMT mardi et ajouté que chaque heure de retard coûterait la vie à 100 âmes chrétiennes.

    Toujours dans le nord d’Israël, la police enquêtait mardi sur des actes de vandalisme contre l’église de Tabgha, sur le site où Jésus a multiplié les pains selon la tradition chrétienne.

    Des adolescents juifs ont arraché des croix et ont agressé une religieuse bénédictine, ont précisé des responsables catholiques locaux.

    En outre, un graffiti anti-musulman a été inscrit sur les murs d’une mosquée à Fureidis, dans le nord d’Israël, toujours selon la police.

    Des inconnus ont tracé une étoile de David et inscrit sur un mur extérieur du bâtiment +fermez les mosquées et ouvrez des yéchivot+, des séminaires d’études juives, a précisé M. Rosenfeld.

    Des pneus de plusieurs voitures garées à proximité ont également été crevés, a-t-il ajouté, évoquant des actes criminels commis pour des motifs nationalistes et les qualifiant d’extrêmement graves.

    La ministre de Justice, Tzipi Livni, a également dénoncé ces incidents: Ceux qui ont fait ça ne peuvent pas appartenir à mon peuple, a-t-elle écrit sur Facebook.

    S’exprimant au nom de l’assemblée des évêques de l’Eglise catholique en Terre sainte, Wadie Abou Nassar, a qualifié ces attaques de très dangereuses et a critiqué le manque de détermination des autorités face à ceux qui incitent à ces violences, particulièrement les rabbins radicaux et les prédicateurs.

    Le 18 avril, un graffiti anti-arabe avait été retrouvé sur les murs d’une autre mosquée à Oum al-Faham (nord).

    Des colons extrémistes ainsi que des activistes d’extrême-droite se livrent, sous l’appellation du Prix à payer, à des agressions visant des villageois palestiniens ou arabes israéliens, des lieux de culte musulmans et chrétiens, des militants pacifistes israéliens, voire l’armée, en réaction à des décisions gouvernementales qu’ils jugent hostiles à leurs intérêts ou à des actes attribués à des Palestiniens.

    Début avril, des graffitis anti-chrétiens avaient été retrouvés sur les murs du monastère de Notre-Dame de Palestine, à l’ouest de Jérusalem.

    (©AFP / 29 avril 2014 16h37)

    – Les extrémistes juifs sont des « néo-nazis hébreux »

    Le plus célèbre écrivain israélien, Amos Oz, a qualifié les extrémistes juifs auteurs d’une vague d’actes racistes contre les chrétiens et les musulmans de « néo-nazis hébreux », rapporte samedi 10 mai 2014 le quotidien Haaretz sur son site.
    Cité par le journal, M. Oz a jugé que le terme du « prix à payer », largement employé pour décrire les attaques contre des Palestiniens et Arabes israéliens par des extrémistes juifs, était un euphémisme.
    Il existe des « noms gentils pour un monstre qui doit être appelé pour ce qu’il est : des groupes néo-nazis hébreux », a-t-il indiqué vendredi à des invités à l’occasion de son 75e anniversaire, selon Haaretz.
    « Nos groupes néo-nazis bénéficient d’un soutien de nombre de nationalistes et même de législateurs racistes, ainsi que de rabbins qui leur fournissent, de mon point de vue, une justification pseudo-religieuse », a ajouté M. Oz.
    De nouvelles inscriptions anti-chrétiennes et racistes ont été découvertes vendredi à Jérusalem, où la police a augmenté la surveillance des sites religieux sensibles à l’approche de la visite du pape François en Terre sainte fin mai.
    « Le prix à payer, le Roi David pour les Juifs, Jésus est une ordure », a été tagué sur le mur de l’église roumaine Saint-Georges, près d’un quartier juif-orthodoxe de Jérusalem.
    L’inscription « Mort aux Arabes » a été peinte sur une maison de la Vieille ville de Jérusalem, et des swastikas -la croix gammée nazie- ont été dessinés sur les murs d’un appartement dans Jérusalem-Ouest, la partie israélienne de la Ville sainte.
    Sous l’appellation du « prix à payer », des colons extrémistes et des activistes d’extrême droite ont intensifié ces derniers mois les agressions contre des Palestiniens, ou encore l’armée israélienne, en réaction à des décisions gouvernementales qu’ils jugent hostiles à leurs intérêts ou à des actes attribués à des Palestiniens.
    Des lieux de culte chrétiens et musulmans sont également visés quasi-quotidiennement.
    Bien que la police ait procédé à de nombreuses arrestations, elles n’ont donné lieu pour le moment à aucune poursuite, et les appels au gouvernement de confier le dossier au Shin Beth les services de renseignement, se multiplient.

    -Un couvent vandalisé en Israël: « Mort aux chrétiens » et « Le prix à payer »
    Des inconnus ont incendié avant l’aube une porte du couvent de Latroun en Israël et inscrit des graffitis anti-chrétiens sur les murs, selon des sources policières.

    « Une porte en bois du couvent a été entièrement brûlée par des inconnus et des slogans anti-chrétiens tel que ‘Jésus est un singe’ ont été inscrits sur les murs de l’édifice », à l’ouest de Jérusalem sur la route de Tel-Aviv, a déclaré à l’AFP le porte-parole de la police, Micky Rosenfeld.

    Des ultras de la colonisation israélienne mènent depuis des mois ce qu’ils appellent une politique du « prix à payer », qui consiste à se venger sur des villageois palestiniens, des lieux de culte musulmans et chrétiens des décisions gouvernementales qu’ils jugent hostiles à leurs intérêts.

    Le 20 février, des graffitis ont été découverts sur les murs d’une église baptiste à Jérusalem-Ouest. Treize jours auparavant, des inconnus ont inscrit « Mort aux chrétiens » et « Le prix à payer » sur un mur d’enceinte du monastère de la Croix à Jérusalem-Ouest, la partie juive de la Ville sainte. SUITE AFP

    * * *
    Des extrémistes juifs sont soupçonnés d’avoir récemment profané plusieurs lieux de culte chrétiens et musulmans pour se venger après l’évacuation forcée de leurs colonies.

    Frère Louis a eu la frayeur de sa vie. Réveillé en pleine nuit par un autre moine qui criait au feu dans le monastère de Latroun, à une vingtaine de kiomètres à l’ouest de Jérusalem, il s’est précipité hors du dortoir. «Je suis sorti et j’ai vu la porte principale de l’église en feu. Heureusement nous avions un extincteur, sinon tout serait parti en fumée», raconte-t-il, encore sous le choc.

    Sur les murs autour de la porte en bois en partie calcinée des inconnus ont signé leur acte en badigeonnant à la peinture orange: «Jésus est un singe». De l’autre côté était inscrit le nom de Migron, une colonie sauvage israélienne de Cisjordanie évacuée dimanche par la police.

    Selon les enquêteurs, cette inscription tend à prouver que l’incendie volontaire est sans doute le fait de petits groupes d’ultras de droite israéliens. Ces extrémistes, très actifs en Cisjordanie, pratiquent depuis des mois ce qu’ils appellent une politique du «prix à payer» qui consiste à se venger par des agressions ou des actes de vandalisme visant des Palestiniens ainsi que des lieux de culte musulmans ou chrétiens des décisions du gouvernement qu’ils jugent hostiles à la colonisation. Un activiste de cette tendance, Baruch Marzel, a ainsi établi un lien avec l’attaque contre le monastère. «Nous avons prévenu que l’évacuation de Migron allait provoquer la colère», affirme-t-il.

    « Nous prenons cette enquête très au sérieux »

    Précision importante, l’attaque de Latroun n’est pas un fait isolé. En février, des graffitis antichrétiens avaient été badigeonnés sur les murs d’une église baptiste et du monastère de la Croix à Jérusalem. Les évêques catholiques de Terre sainte ont dénoncé cette série de profanations. SUITE AFP

    Après les récentes profanations commises par des extrémistes juifs contre des institutions chrétiennes de — Terre Sainte, le Père Pierbattista Pizzaballa a écrit au président israélien Shimon Peres pour lui demander d’intervenir. Les chrétiens sont inquiets de cette vague d’agressions commises en toute impunité par des colons vivant dans les territoires palestiniens.

    Des slogans insultants comme « Nous allons vous crucifier », « Mort au christianisme », « Marie est une prostituée », ont récemment été tagués sur les murs d’enceinte d’institutions chrétiennes à Jérusalem, soit une école, un monastère, ou dans un cimetière.

    Le Père Pizzaballa, custode franciscain de Terre Sainte, a demandé à Shimon Peres de faire usage de sa fonction afin que l’on arrête les extrémistes responsables de plusieurs actes de vandalisme visant des sites chrétiens ces dernières semaines à Jérusalem.
    Un groupe de colons, se réclamant du slogan « Price tag » (le prix à payer), proteste contre le démantèlement des constructions juives illégales dans les territoires palestiniens. Ils s’en sont déjà pris aux institutions chrétiennes ainsi qu’à des installations militaires israéliennes. Les pacifistes israéliens sont également visés.

    Des prêtres victimes de crachats

    Selon le Père Pizzaballa, « ces slogans choquants, ‘tagués’ sur des lieux de prière chrétiens, spécialement à Jérusalem, blessent tous les chrétiens de Terre Sainte, aussi bien que les centaines de milliers de pèlerins qui visitent Jérusalem et la Terre Sainte, et encore des millions d’autres au plan mondial », rapporte le quotidien israélien « Haaretz ».
    « Je vous serais reconnaissant si vous utilisiez tout votre pouvoir et influence auprès des autorités afin que ce type d’action dangereuse soit éradiqué et que ces actions cessent, avant qu’elles ne deviennent une habitude à l’encontre des chrétiens en Israël », peut-on lire dans la lettre du Père Pizzaballa.

    Le journal révèle également que la communauté chrétienne de Jérusalem se sent de plus en plus dans le collimateur des extrémistes. Des prêtres vivant dans la vieille ville de Jérusalem, spécialement les prêtres arméniens qui doivent souvent passer par le quartier juif, rapportent qu’ils se font cracher dessus quasiment tous les jours, écrit « Haaretz ». Cette pratique est devenue si courante qu’un certain nombre d’entre eux, pour éviter les crachats, ont tout simplement cessé de se rendre dans certains quartiers de la vieille ville de Jérusalem.

    La coupe est pleine

    Les attaques ciblées visant les institutions chrétiennes ont provoqué l’inquiétude des communautés minoritaires. Le responsable de la Custodie de Terre Sainte a demandé au président israélien Shimon Peres d’intervenir au plus vite, pour mettre fin à cette vague d’agressions antichrétiennes. Les auteurs de ces actes de profanation sont des colons juifs orthodoxes et nationalistes qui agissent impunément. Ils commettent régulièrement des actes de vandalisme contre les militants juifs pour la paix, visant des personnalités ou des biens des membres du mouvement « Peace Now », quand ils ne s’en prennent pas directement aux Palestiniens, à des mosquées ou à des voitures.
    « Les chrétiens de Terre Sainte, écrit le Père Pizzaballa, ont appris au fil des années à ignorer les provocations. Mais cette fois, la limite a été franchie, et ils n’entendent plus se taire ».

    Quatre adolescents âgés de 13 à 15 ans accusés d’avoir tagué des graffitis tels « Le prix à payer » ou à la gloire du rabbin Méir Kahane (le chef du mouvement Kach d’inspiration raciste anti-arabe, ndlr) sur un bulldozer et une citerne dans un chantier au nord-ouest de Jérusalem ont été arrêtés, a précisé une porte-parole de la police.

    Des colons extrémistes et des activistes d’extrême-droite s’en prennent régulièrement, sous l’appellation du « Prix à payer », à des Palestiniens ou Arabes israéliens, à des lieux de culte musulmans et chrétiens, à des militants pacifistes ou même à l’armée, en réaction à des décisions ou des actes qu’ils jugent hostiles.

    Ce dimanche, trois jeunes israéliennes accusées d’avoir craché vers un prêtre ont été arrêtées près de veille ville de Jérusalem. Dans leurs sacs, les policiers ont trouvé des drapeaux israéliens sur lesquels étaient inscrits « Nekama » (vengeance en hébreu) et le « prix à payer », a ajouté la porte-parole. Ces mineurs devaient être présentés lundi devant un juge pour une éventuelle prolongation de leur garde à vue.
    Assimiler les actes racistes à des « activités terroristes » ?
    Par ailleurs, un tribunal de Jérusalem a prolongé de trois jours la détention de Shalom Matouki, un colon de l’implantation d’Yitzhar dans le nord de la Cisjordanie occupée. Il est soupçonné d’avoir participé à un acte de vandalisme contre une mosquée à Oum al-Fahem dans le nord d’Israël le 18 avril, a indiqué la radio publique.

    Malgré ces arrestations, la radio militaire a souligné que la police n’avait pas réussi à mettre la main sur la plupart des auteurs d’exactions anti-arabes et anti-chrétiens qui se sont multipliés ces derniers mois.

    La députée d’opposition de gauche Zeeva Galon a appelé lundi à la radio le gouvernement à adopter une loi assimilant les actes racistes à des « activités terroristes » ce qui donnerait à la police et au Shin Beth (le service de sécurité intérieure) plus de moyens légaux pour lutter contre ce phénomène.

    La ministre de la Justice israélienne, Tzipi Livni, avait elle aussi soutenu dimanche l’idée de traiter les exactions des colons et extrémistes juifs comme des actes « terroristes ». Dans son rapport annuel sur le terrorisme publié mercredi dernier, le département d’Etat américain a déploré que les actes d’extrémistes israéliens, notamment de colons en Cisjordanie occupée, contre des Palestiniens, « dans leur majorité n’aient pas donné lieu à des poursuites ».

    – Dimanche 11 mai 2014 7 11 /05 /Mai /2014 01:43
    Israël : les écoles catholiques réagissent aux violences anti-chrétiennes

    © P.M WYSOCKI / LUMIÈRE DU MONDE
    « Nous n’avons peur de personne, pourtant nous avons peur pour chacun. » Face à la montée des violences anti-chrétiennes, les écoles catholiques d’Israël ont décidé de réagir.
    La Tribune de Terre Sainte, nouveau partenaire d’Aleteia, a partagé en ligne la traduction du communiqué du Secrétariat Général des Ecoles Catholiques en Israël, suite aux derniers actes de vandalisme et aux menaces qui ont ciblé la population chrétienne dans le pays :

    Chers directeurs, professeurs, employés et étudiants,
    Lors d’une réunion qui a eu lieu le 30 avril 2014, l’Administration du Secrétariat Général, a fortement dénoncé les actes de violences, en rappelant notamment les faits suivants :
    Que les actes commis récemment par des fondamentalistes, contre nos églises et nos lieux saints, nous laissent profondément consternés et nous font poser cette question : mais quelle éducation ces fondamentalistes ont-ils reçu ?

    Parmi les derniers actes, nous nous souvenons de celui qui a eu lieu à l’Abbaye de Latroun, puis au Monastère de Deir Rafat, et maintenant à l’encontre des églises de Tabgha et de Bassa, sans oublier la lettre d’intimidation adressée à S.E. l’évêque Boulos Marcuzzo, menaçant chaque chrétien et chaque homme d’une conscience vivante.

    En réponse à tout cela, et toujours dans l’esprit de charité que nous semons dans nos écoles, nous annonçons que nous n’avons pas peur, car Dieu est avec nous. Nous n’avons peur de personne, pourtant nous avons peur pour chacun. Et cette menace, nous la prenons au sérieux, parce que nous avons peur pour nos enfants, et c’est pour cette raison que nous nous adressons aux responsabilités civiles afin soient prises les mesures requises.

    Nous annonçons aussi que la première heure du lundi 5 mai 2014 (date mentionnée dans la lettre de menace), sera consacrée à un cours d’éducation et de sensibilisation pour nos élèves. Les professeurs pourront discuter avec leurs élèves de ces derniers événements, et de comment gérer la situation avec sagesse.

    Nous demandons aussi à chaque directeur d’école d’adresser une lettre de plainte à la police qui se trouve autour de l’école, afin qu’elle assure la protection de nos chers élèves.
    Nous annonçons enfin que nos symboles religieux resteront levés dans nos pays et dans notre patrie, et confiants en Dieu nous répétons : « Je ne crains aucun mal, car Tu es avec moi »

    Nous joignons aussi notre voix à celle des Ordinaires Catholiques de Terre Sainte qui ont publié un communiqué.

    Avec toutes nos salutations, amour et respect,

    P. Abdelmassih Fahim, OFM
    Secrétaire Général des Ecoles Catholiques en Israël

    – Quand Israël cultive la haine…
    Karim MOHSEN
    Une école bilingue hébreu-arabe fréquentée par des Arabes et des Israéliens, située à Jérusalem-Ouest, a été incendiée samedi. Les incendiaires signent leur forfait, laissant sur place des tags anti-arabes. « Mort aux Arabes »…« Stop à l’assimilation » ont été tagués en lettres hébraïques sur les murs de l’école.
    Le méfait n’est pas inédit et vient quelques jours après l’incendie d’une mosquée en Cisjordanie. En fait, depuis des lieux de culte, musulmans et chrétiens, jusqu’à ceux du savoir, il n’y a avait qu’un pas que les extrémistes israéliens ont vite fait de franchir. C’est d’autant hideux que cette école est l’une des rares du genre en Israël qui voulait montrer que la cohabitation était possible entre Israéliens et Palestiniens. Il fallait compter avec ceux qui ne l’entendaient pas ainsi. La ministre israélienne de la Justice, Tzipi Livni, réagissant au crime avait promis, dimanche, « zéro tolérance » contre de tels actes. De son côté, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a aussi condamné cet attentat. Selon lui, « l’incendie de cette école bilingue va à l’encontre des efforts importants menés pour ramener le calme à Jérusalem ».
    Toutefois, il y a comme un défaut dans les propos des responsables israéliens, lorsqu’on note que ces crimes contre les lieux de culte musulman, chrétien et le patrimoine palestinien – relevons que c’est le premier établissement israélien à avoir été attaqué – qui se répètent depuis des années, sont non seulement tolérés, quand ils ne sont pas possiblement encouragés, mais impunis.
    Nous avons relevé, dans ces mêmes colonnes, la semaine dernière, la réunion du cabinet israélien, sous la présidence du Premier ministre, avec pour objet l’étude de la révision d’une loi portant sur le caractère d’Israël, par l’ajout d’un texte affirmant qu’Israël est un « Etat national du peuple juif ». En fait, le gouvernement israélien institutionnalise – ou veut instituer – la séparation entre Israéliens juifs et Israéliens chrétiens et musulmans (descendants des Arabes palestiniens) alors que l’apartheid est déjà une réalité dans les territoires occupés en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Les dirigeants israéliens veulent donc instaurer la désunion entre deux ethnies qui constituent la nation israélienne. Des hommes de gauche et des intellectuels avaient, dès l’annonce du projet de loi, condamné une initiative qui ne pouvait que mettre davantage en porte-à-faux Israël. En effet, dit autrement, le gouvernement israélien élargit l’apartheid en Israël même, incitant ainsi à la haine entre les populations juive et arabe.
    Le résultat ne s’est pas fait attendre avec l’incendie de l’école bilingue pourtant située en territoire israélien. Le fondateur de cette école, Shuli Dichter, qui dirige l’association « Hand in Hand » (la main dans la main), a dénoncé dimanche « une récente et dangereuse vague de racisme » à Jérusalem. Pourquoi s’en étonner ? En tripatouillant la loi, en accentuant la judaïsation de Jérusalem-Est occupée, en multipliant les implantations de colonies en Cisjordanie occupée, en fermant les yeux sur les exactions de ceux qui agissent sous le label « le prix à payer » – ceux-là qui ont incendié la mosquée de Ramallah – le gouvernement israélien plutôt que le « zéro tolérance » attise la haine et le racisme condamnés partout ailleurs dans le monde. L’école qui se voulait le symbole d’une future coexistence entre Palestiniens et Israéliens a été détruite par ceux-là qui refusent de coexister avec les Palestiniens. Et nombre d’entre eux se trouvent dans le gouvernement israélien, à leur tête le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, celui-là même qui a mis un terme aux accords d’Oslo en gelant – un an après le début de la mise en application de ces accords en 1995 – le transfert de territoires à l’Autorité autonome palestinienne, créée en 1993.
    En vingt-ans, Netanyahu a réduit à néant toutes les avancées réalisées entre Palestiniens et Israëliens. Ne restent que les cendres des mosquées, des vergers, des maisons incendiées par les extrémistes israéliens ou par l’armée israélienne qui, pas plus tard qu’il y a cinq jours, détruisit à coups de bulldozer la maison d’un Palestinien tué en début de semaine à Jérusalem-Est. Chaque jour, l’Etat d’Israël montre son agressivité à l’encontre des Palestiniens. Ce sont les dirigeants israéliens par leurs agissements qui ont permis l’émergence du racisme anti-palestinien et anti-arabe israélien par son comportement envers les Palestiniens et les citoyens israéliens arabes qu’une loi va rétrograder en marge de la société. Quand on cultive la haine, vient le jour où l’on récoltera la tempête.
    Karim MOHSEN
    Israël

    Le cardinal Tucci dénonce le refus d’Israël d’accorder des visas à des religieux et demande au Parlement européen d’intervenir. Face au refus de l’État d’Israël d’accorder des visas et des titres de séjours à des religieux catholiques, le cardinal demande aux Églises occidentales, européennes et américaines de faire pression pour soutenir l’Église en Israël et dans les Territoires occupés. Il s’adresse enfin au Parlement européen, l’invitant au « devoir d’intervention au niveau politique ». Les religieux catholiques sont traités comme des « immigrés clandestins » par les autorités israéliennes, s’insurge le cardinal Roberto Tucci, président d’honneur de Radio Vatican. Le cardinal s’exprimait sur les ondes de celle-ci le 2 avril 2004, au sujet du refus de l’État israélien de délivrer des visas et des permis de séjours aux religieux catholiques de Terre Sainte.
    « En bloquant l’octroi de permis de séjours à des religieux et des religieuses, il pose de sérieux problèmes à l’Église catholique en Israël et dans les territoires palestiniens. Des religieux et des religieuses qui ne peuvent effectuer leur travail, comme l’a rappelé le porte-parole de la custodie de Terre Sainte, le père David Jaeger, risquent d’être traités comme des immigrés clandestins. » Il a également souligné que « les membres du Parlement européen et des institutions européennes qui se réfèrent plus ou moins officiellement à la foi chrétienne auraient le devoir d’intervenir au niveau politique. »
    À la mi-mars 2004, les religieux dans l’attente d’un permis de séjour délivré par les autorités israéliennes étaient au nombre de 130. Depuis deux ans, la délivrance de ces documents pour des religieux a commencé à connaître des difficultés, jusqu’ici de moindre importance. Pour les autorités religieuses catholiques locales, il s’agirait d’une politique délibérée des Israéliens. Ce blocage contrevient aux accords entre Israël et le Saint-Siège signés en 1993. Ceux-ci reconnaissent à l’Église le droit d’exercer ses activités religieuses, éducatives et caritatives en Terre Sainte et d’y disposer du personnel nécessaire.

    Le patriarcat de Jérusalem compte 78 prêtres diocésains. Les franciscains responsables de la Custodie de Terre Sainte sont 1.217 et l’on compte aussi 549 religieux se divisant en 94 maisons. La présence des religieuses est quant à elle, encore plus importante, avec 72 congrégations comptant un total de 1.205 membres regroupées en 234 couvents. Toutes ces communautés de Terre Sainte ont un caractère très international.
    À un mois du 10ème anniversaire des relations entre Israël et le Saint-Siège, les tergiversations d’Israël et les promesses non tenues provoquent des tensions entre les deux États. Un accord aurait dû être signé avant la fin 1995. Il y est notamment question de l’exemption des taxes pour les congrégations et les institutions chrétiennes. Le 4 mai dernier, l’ambassadeur d’Israël auprès du Saint-Siège, Oded Ben-Hur, s’est rendu au Vatican pour faire part au secrétaire pour les relations avec les États, Mgr Giovanni Lajolo, du souhait de son gouvernement de reprendre les négociations, au plus tôt à la fin du mois de juin 2004, afin d’arriver à cet accord économique en décembre 2005.

    Ce volet – crucial pour la survie et le développement des communautés chrétiennes en Terre Sainte – a été rendu obligatoire par l’article 10 de l’accord fondamental du 30 décembre 1993, premier lien juridique entre les deux Etats avant l’établissement des relations diplomatiques six mois plus tard. Cet accord concerne essentiellement la question de l’exemption des taxes pour les congrégations et les institutions chrétiennes. En juillet 2003, le ministre des Affaires étrangères israélien, Silvan Shalom, avait annoncé à la presse que l’accord serait signé dans les prochains mois. Un mois plus tard, Israël, sans se justifier, décidait de se retirer des négociations. Le 28 avril 2004 à Rome, à l’occasion d’une réception donnée par l’ambassade d’Israël auprès du Saint-Siège, l’ambassadeur Oded Ben-Hur a annoncé la volonté de l’Etat d’Israël de reprendre les négociations. « Dans l’optique du 10e anniversaire des rapports diplomatiques, nous espérons enfin apercevoir de la lumière au bout du tunnel, même s’il nous faudra encore du temps pour en sortir », a-t-il affirmé. L’Église catholique, dans ce domaine, sert de porte-parole à l’ensemble des Églises chrétiennes qui, à la différence du Vatican, ne sont pas une entité souveraine internationalement reconnue et ne peuvent donc dialoguer au même niveau avec les représentants de l’État d’Israël. Un autre point sérieux de tension concerne les quelques centaines de visas, en attente d’être concédés au personnel religieux chrétien. À propos du mur de sécurité, on fait remarquer au Vatican qu’il est un problème pour toute la population et, qu’au sein de la population, les congrégations religieuses qui en souffrent représentent une petite minorité. On ajoute cependant que la construction du mur est une « violation permanente de l’accord fondamental ». L’article 4 de cet accord stipule qu’Israël s’oblige à « continuer de respecter et de protéger le caractère propre des lieux saints catholiques comme les Églises, les monastères, les couvents, les cimetières et autres lieux du même ordre ». « Or une structure militaire comme ce mur, avec des camionnettes militaires qui tournent autours, est en total contradiction avec le caractère sacré des lieux et en total contradiction avec l’article », affirme-t-on à Rome.
    Des congrégations ont expulsées de leurs terres, d’autres ont vu leurs terrains scindés en deux et la vie même des institutions est remise en cause par la division de la population. Le 16 novembre dernier, à la veille d’une visite d’Ariel Sharon à Rome, Jean-Paul II avait affirmé que « la construction d’un mur entre le peuple israélien et le peuple palestinien est considérée par beaucoup comme un nouvel obstacle sur la voie d’une cohabitation pacifique. En réalité, la Terre Sainte n’a pas besoin de murs, mais de ponts. Sans la réconciliation des âmes, il ne peut y avoir de paix. »

    Un jeune homme juif, Natan Zvi Rosenthal a, en novembre 2004, craché sur un évêque arménien à Jérusalem. Malgré ses excuses (il considérait le christianisme comme l’adoration d’une idole) et le pardon de l’évêque, il risque des poursuites. Au même moment, des étoiles de David ont été taguées à l’entrée du Monastère de Cross, aux environs de Knesset. La cathédrale orthodoxe russe de Jérusalem a subi des actes de vandalisme similaires. Le prêtre d’une église située à proximité de plusieurs synagogues affirme que des étudiants juifs observent les fidèles aux jumelles et leur font des signes obscènes lorsqu’ils passent à proximité d’eux. D’autres églises se plaignent que des habitants jètent des ordures dans leurs cours.

    A-t-on demandé aux Français Juifs de s’excuser après que le terroriste d’extrême droite ait abattu plusieurs fidèles musulmans dans la mosquée

    Le meurtre de vingt-neuf Palestiniens en 1994

    Le 25 février 1994, Baruch Goldstein, médecin à Kyriat Arba, colonie contiguë d’Hébron, tirait sur les fidèles musulmans en prière dans le caveau des Patriarches. Il y eut vingt-neuf morts. Baruch Goldstein, qui fut tué sur place par les survivants, était proche du mouvement Kach, formation raciste anti-arabe, fondée par le rabbin américain Kahane et, depuis, interdite.
    A l’époque du massacre, certains des amis de Baruch Goldstein expliquaient son geste par la volonté de venger la mort du rabbin de Brooklyn, lui-même assassiné à New York, selon les termes en vigueur dans ce milieu, par un « Arabe nazi ». Pour d’autres, il voulait saboter les accords israélo-palestiniens jugés dangereux pour la présence des colons en Cisjordanie. A Hébron, les colons le considèrent comme un bienfaiteur. – (Corresp.)

    Union Juive Française pour la Paix UJFP
    26 février 2014 •
    la LDJ rend hommage à Baruch Goldstein
    20 ans après le massacre de la mosquée d’Ibrahim, à Al Khalil, la LDJ rend hommage à Baruch Goldstein, l’extrémiste qui a massacré des fidèles en prière.
    A l’heure où les militants BDS sont poursuivis en justice, on constate que la milice peut impunément célébrer le massacre de Palestiniens.
    Comme vous pourrez le constater, il s’agit du discours haineux d’une grande gravité :
    http://www.liguedefensejuive.com/il-y-a-25-ans-mourait-baro…
    En voici quelques extraits :
     » Baruch Goldstein est un médecin israélien qui tua en 1994 à Hébron 25 colons arabes et en blessa 125 autres. Dans l’affrontement il fut tué le 25 Févier 1994
    Baruch Goldstein devint un héros pour de nombreux patriotes israéliens. (…)
    Le rabbin Yitzchak Ginsburgh du mouvement Loubavitch,publie avec trois autres membres du mouvement Kahane un recueil d’articles et de messages de soutien dans un livre de 540 pages intitulé Baroukh l’homme. Ouvrage à la mémoire du docteur Barouck Goldstein, le Saint- Que Dieu venge son sang. Il y indique que le geste de Goldstein constitue « un accomplissement de nombreux commandements de la loi juive », que « la vie d’un juif vaut plus que celle d’un non-juif », et incite à « tuer un non-juif en cas de risque, même faible, qu’il agisse (même indirectement) en vue de porter atteinte à des vies en Israël ».(…) On peut lire sur sa tombe : »Ici gît un saint, Dr. Baruch Kappel Goldstein, bénie soit la mémoire d’un homme juste et saint, que Dieu venge son sang, à celui qui dévoua son âme aux juifs, au judaïsme et au pays juif. Ses mains sont innocentes et son cœur est pur. Il fut tué en martyr de Dieu le 14 Adar, jour de Pourim de l’an 5754″.
    Voilà ce qu’on peut écrire impunément en France, quand il s’agit du sang des Palestiniens.

    Quant aux représentants des pays européens qui sont venus , ils feraient mieux d’expédier des troupes aux cotés des soldats français au Mali et sur les autres fronts

    Des Gamins, des élèves, inconscients , abrutis ou mal éduqués, enfin de petits « connards » ont retweetter « jesuischarlie #je suiscoulibaly » ont été mis en garde à vue où ont fait l’objet de mise en dépôts pour apologie de terrorisme.

    La dignité de grand officier de la Légion d’honneur a été remise le 01 JANVIER 2015, à un individu qui lors de la « manif pour tous » en 2013 avait retweetté « si une bombe explose sur les Champs Elysées à cause de #la Manif Pour Tous c’est pas moi qui vais pleurer ».

    Cherchez l’erreur , il n’y a pas plus grande apologie de terrorisme et incitation au meurtre .

    Monsieur le Premier Ministre et Madame la Ministre de l’Education ( Nationale) que comptez- vous faire ???? . Il me semble que Pierre Bergé est un de vos « copain », et il n’a jamais été inquiété .

    Là aussi deux poids deux mesures ???????

    Maintenant je m’interroge afin de savoir quel peut être le niveau de responsabilité médiatique du pseudo journaliste Jean-Paul NEY dans le terrible attentat contre l’Hyper Casher de Vincennes ??

    N’oublions pas que c’est lui qui dès les première heures de l’attentat contre Charlie-Hebdo a fait fuiter les identités des deux terroristes sur les réseaux sociaux ( en y incluant l’identité d’un lycéen qui à l’heure des faits se trouvait sur son banc d’école ) .

    Le pseudo journaliste Jean-Paul Ney qui le soir de l’attentat revendiquait son geste , en visio-conférence sur la chaine Israélienne I 24 New . vers 20 heures .

    Je pense l’attentat était prémédité depuis longue date , mais peut-être aussi qu’il a été effectué par « vengeance » à cause de ce «fuitage ».

    Le terroriste Coulibaly ayant décidé sa chevauchée meurtrière dès le lendemain matin où peut-être le soir même contre le joggeur après le « fuitage» .

    Jean-Paul Ney que l’on trouve dans l’ombre d’un autre COULIBALY (Ibrahim) dit I.B. en côte d’Ivoire dans la tentative de coup d’état contre Gbagbo en décembre 1999.

    Jean-Paul Ney très proche des milieux d’extrême droite sioniste et des services de renseignements israéliens .

    Une semaine avant l’assemblée Nationale et le Sénat ont votés symboliquement pour la reconnaissance de l’Etat palestinien

    Je souligne que je ne suis pas musulman, mais chrétien plutôt très Laïc .

    Les intégristes de tous bords n’ont rien à faire au sein de la république Française, il faut les mettre hors de nuire .

    Dans l’attentat de DRAKKAR à BEYROUTH en 1983 , j’ai perdu de nombreux camarades de toutes confessions , je n’ai pu malheureusement en sauver que quelques- uns, et se souvenir ne s’est jamais effacé il est toujours en moi .

    N’appartenant à aucun parti politique .

    Avec ma liberté de penser et ma libre expression

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